ENTERRER COMME DES CHIENS

A quelque vingtaines de kilomètre de la capitale Malgache, sur la route National 7 qui mène vers la partie sud du Pays, sur un croisement qui monte sur une montagne, se trouve la maison de Force de Tsiafahy, c’est une de prisons le plus important et bien gardé dans les régions d’Antananarivo, le plus dangereux de criminel se trouve dans cette prisons, il y a en tout quelque centaines de détenus. Il y a ce qui sont là pour de meurtre, des vols, des violes est d’autres crimes.

Enfaite la prison de Tsiafahy c’est pour le dur, il y a ce qui sont condamné à perpétuité, il y a aussi ce qui vont passer plusieurs décennie de sa vie derrière ce murs de béton. Puisqu’on a à faire à des criminels dangereux, il semble normal que la sécurité soit bien renforcé. Mais il y a un phénomène sinistre qui nous à marqué l’esprit, a quelque mètre derrière la prisons se trouve une colline un peut large, on trouve plusieurs dizaines de fossé, un peu près des mêmes dimensions qu’une personne. C’est le cimetière des prisons selon le témoignage des habitants qui vit dans un petit village qui se trouve non loin de la prison. 

CONDITION DE L’INCARCERATION  

Puisque la maison d’arrêt de Tsiafahy se trouve dans une hautes montagne est dans un endroit enclavé, un peut loin de tout, est peut être parce que il n’y a que des personnes condamnés à plusieurs décennies qui sont là,  et certains détenus ne sortirons même jamais, c’est un peu normal que quelques prisonniers se retrouvent avec le morale zéro et perdre tout espoir de vivre, et certains sont aussi  lâchés et abandonnés par leur famille.

Dans ces désespoirs total, il est  facile de tomber malade et peuvent être mourir après,  sans oublier le manque de soins et des médicaments dans la prison, mais aussi le mauvais état de l’endroit ainsi que saleté qui favorise le développement de maladie. Mais aussi sur les conditions d’incarcération : mauvais traitement des ces détenues. On peut constater le nombre de détenus déjà enterrer sur cette colline aux nombres de quelques plusieurs dizaines, ces détenus mort pendant leur incarcération sont enterrer dans ces fosse sans linceul ni de couverture, mais juste avec leur simple vêtements qu’ils sont porté juste avant de mourir.

C’est  difficile de parler des droits de l’homme dans un endroit comme celles de prisons de Tsiafahy ainsi que d’autres maison d’arrêt à Madagascar, en constater juste l’endroit, on voit tout de suite que c’est inhumaine et difficile d’y croire que des prisons comme cela existe bel et bien encore en  ce troisième millénaire et tout le haut responsable ainsi que ce qui prétendez être le défenseur de droit de l’homme ne puisse pas voir tout ça.  Et pourtant les prisonniers ont leur droit aussi.